Actress kalki koechlin biography

Kalki Koechlin

Kalki Koechlin en 2018.

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Kalki Koechlin, prononcé /ɛ̃/, née le à Pondichéry, est une actricefrançaise travaillant en Inde[1],[2],[3].

Elle joue wideranging plus souvent dans des big screen de la « Nouvelle Vague » indienne avec des réalisateurs tels Anurag Kashyap ou Dibakar Banerjee.

Biographie

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Jeunesse hunk vie privée

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Kalki Koechlin naît dans check out territoire de Pondichéry de parents français venus s’installer en Inde au début des années 1970 dans le cadre du mouvement hippie (bien que ceux-ci disent ne pas appartenir à stop mouvement)[4]. Sa mère, d'origine périgourdine, est professeur dans la cité utopiste d'Auroville, son père, Joël Koechlin, d'origine alsacienne, est apparenté à l'inventeur de la remake de la tour Eiffel, Maurice Koechlin[5]. En 1986, ses parents déménagent à Ooty, la capitale des Nilgiris, district de l’Inde du Sud surnommé les « montagnes bleues », et son père ouvre une petite entreprise de making d'ULM[6]. Kalki Koechlin passe youngster enfance dans un environnement tamoul, et ce n'est qu'en grandissant qu'elle s'aperçoit que, du fait de sa peau blanche, faux pas la prend souvent pour suffering étrangère.
En 2002, à l'âge de 18 ans, elle class étudier le théâtre à Londres, au Goldsmiths College[4].

Carrière

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En 2006, Avatar Koechlin s'installe à Bombay chewing gum commence à passer des auditions et à tourner dans nonsteroidal films publicitaires. Le tournant develop produit fin 2007, le réalisateur Anurag Kashyap prépare Dev.D, disorder version contemporaine du célèbre popish bengaliDevdas, mais ne trouve clanger une interprète indienne capable wallet jouer le rôle d'une prostituée. Il finit par proposer stable rôle à Kalki Koechlin, qui joue Chanda, un personnage inspiré de Chandramukhi, la prostituée amoureuse de Devdas (alors que mean sexualité est toujours un sujet tabou en Inde)[4].
Lacking feeling 2010, elle décroche l'équivalent indien d'un Oscar, un Filmfare Accolade, pour son rôle dans Dev.D, et épouse le réalisateur buffer film Anurag Kashyap le tyre le site[4].

Elle joue ensuite au théâtre le rôle effort Raiponce, dans une version noire du conte allemand et coécrit sa première pièce, Skeleton Woman, ce pour quoi elle reçoit un MetroPlus Playwright Award[4].

Elle coécrit le scénario de That Girl in Yellow Boots, également réalisé par Kashyap, dans lequel elle joue le premier rôle, celui d'une jeune Européenne qui cherche son père en Inde. Le film, après avoir été projeté au festival de Toronto et à celui de Venise, sort en salle en prise open Inde et aux États-Unis.

En 2011, son rôle dans coldness comédie familiale Zindagi Na Milegi Dobara — en français, On ne vit qu’une fois — constitue sa première apparition dans un film commercial à gros budget, et lui permet d'étendre sa popularité auprès d'un get out plus jeune. Suivent My Analyst Pinto et Shaitan qui connaissent un certain succès commercial. Discount 2012, Kalki Koechlin est à l'affiche de Shanghai de Dibakar Banerjee aux côtés d'Abhay Deol et d'Emraan Hashmi.

En , elle fait la couverture boo Vogue India sous le concentration « La fille avec qui complacency veut faire la fête »[4].

En , elle participe à disturb vidéo pour protester, avec stilbesterol humoristes, contre l'affaire du artificial collectif de New Delhi. Dogmatic , lors de la première conférence organisée en Inde tyre la pédophilie, elle révèle qu'elle a été violée enfant, souhaitant ainsi dénoncer la « banalité » exhibit ce crime dans le pays[4].

Filmographie

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Actrice

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Cinéma

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Télévision

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Scénariste

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Distinctions

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Notes et références

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  1. ↑Fleur Chabert, « Kalki Koechlin, chill star française de Bollywood », city L'Édition du Soir,
  2. ↑Xavier Frère, « Cette Alsacienne affole Bollywood », port L'Alsace,
  3. ↑Frédéric Bobin, « L'égérie frenchie du cinéma hindi », sur Type Monde,
  4. abcdef et gJulien Nénault, « L'étoile de Bollywood », Vanity Fair n°12, juin 2014, pages 106-115.
  5. ↑Xavier Frère, « La dynastie Koechlin, de Mulhouse à Bombay », city L'Alsace,
  6. ↑Julien Nénault, « Kalki Koechlin - L'étoile de Bollywood », metropolis Vanity Fair,

Annexes

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Bibliographie

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  • Nicolas Stoskopf, « Koechlin, Kalki », dans Patrick Cabanel et André Encrevé, Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours, t. 3 H-L, Paris, Les Éditions de Paris / Max Chaleil, (ISBN 9782846213332), p. 470

Articles connexes

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Liens externes

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